Insulter les journalistes fait-il mieux exister ses idées?

Le 20 octobre 2010

Jean-Luc Mélenchon, Bernard Tapie, Benjamin Lancar..., invectiver les journalistes est un sport à la mode dans le milieu politique. Revue d'injures et analyse de cette tactique de communication.

Calomnier les journalistes est devenu une technique communicante actuellement très en vogue chez de nombreux acteurs de la vie politique. Le gourdin de l’injure est en soi loin d’être inédit et même une antienne usitée depuis des décennies à l’encontre des reporters jugés trop importuns ou critiques. Mais ces derniers temps, quelques figures notoires s’y adonnent avec une gourmandise énervée assez surprenante.

Pourquoi tant de virulence à répétition à l’égard d’une profession qui certes n’est pas exempte de reproches mais qui s’efforce malgré tout de faire son métier d’information ? Faut-il y voir une astuce manipulatrice pour susciter ce fameux buzz médiatique dont beaucoup sont friands pour exister sur la place publique ou bien une tendance lourde de la dégradation d’un métier malmené et vilipendé ? Quelques éléments de réponse dans le fatras des insultes !

« Il y a désormais un droit à l’insulte ouvert dans ce pays, ce qui laisse augurer d’une campagne présidentielle « très agréable » pour les journalistes »1. Ce constat mi-amer, mi-ironique émane de Thierry Thuillier, le directeur de l’information du groupe France Télévisions suite aux insultes proférées quelques jours plus tôt par le sénateur et leader du Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon à l’égard du présentateur du JT de 20 heures de France 2, David Pujadas.

Pourquoi tant de haine ?

L’élu n’avait en effet pas hésité à qualifier le journaliste de « salaud », « laquais » et « larbin du pouvoir » pour son interview jugée trop pugnace d’un syndicaliste CGT impliqué dans des actes de dégradation de biens suite à la fermeture programmée de l’usine Continental de Clairoix (Oise). Sommé de s’expliquer par la confrérie journalistique sur cet écart de langage, Jean-Luc Mélenchon a au contraire persisté en refusant de formuler la moindre excuse. Bravache à souhait, il a même renchéri sur son accusation initiale2 : « Oui, après tout, c’est vrai. C’est tout ce qu’il méritait ».

Ce qui pourrait apparaître comme une énième et superfétatoire passe d’armes pour initiés du microcosme politico-médiatique relève en fait d’un phénomène qui a tendance à nettement s’accentuer depuis quelques mois, tous camps politiques confondus. En s’attaquant de plus en plus frontalement aux journalistes, les politiques surfent allègrement dans l’air du temps et essayent de capitaliser à leur avantage l’étiolement certain dont souffrent les journalistes.

Paru en 2009, ce petit livre aborde les vraies questions du journalisme

L’étoile du « quatrième pouvoir » comme on surnomme souvent les journalistes s’est en effet singulièrement flétrie au gré du temps. Les racines de cette situation délétère sont profondes. Dans un livre pertinent3 publié en 1991, Yves Mamou diagnostiquait déjà la tumeur en citant deux sondages aux chiffres éloquents. Le premier réalisé trois ans plus tôt par le quotidien La Croix indiquait que 50% des Français estimaient la presse pas assez indépendante des partis politiques et des pouvoirs de l’argent. Le second mené par Le Nouvel Observateur établissait un classement préférentiel des métiers prestigieux aux yeux des Français. Lequel reléguait les journalistes en queue de peloton aux côtés des prostituées et des députés !

Le verdict aurait pu constituer un électrochoc salutaire. Il n’en fut rien et même pire. En 2007, un sondage LH2-Libération renvoyait un scanner encore plus implacable : 62% des Français jugent les médias dépendants des pouvoirs politiques. À l’orée de la nouvelle décennie, l’érosion de la confiance est encore montée d’un cran. Dans sa dernière livraison de janvier 2010, le désormais classique coup de sonde du journal La Croix montre que les compteurs se sont un peu plus encore enfoncés en zone rouge. 66% des personnes interrogées considèrent que les journalistes ne résistent pas aux pressions des partis politiques et du pouvoir et 60% prêts à succomber aux pressions de l’argent.

Cette défiance accusatoire à l’égard de la presse n’est pas un fait fondamentalement inédit. Par exemple, l’écrivain et journaliste Jules Vallès plantait déjà des banderilles acérées sur son dos en la soupçonnant de blâmables collusions dans les colonnes du journal Le Peuple : « Depuis 1852, la presse a toujours eu pour égéries certaines puissances financières ». En revanche, l’argument ressort à intervalles de plus en plus réguliers. Lors de la dernière élection présidentielle de 2007, François Bayrou n’a pas hésité à son tour à taper du poing sur la table en s’insurgeant contre la fracture médiatique sévissant entre d’un côté, les deux poids lourds Sarko et Ségo couvés et choyés par les médias et de l’autre, la piétaille des autres prétendants réduits à jouer les supplétifs de bas étage dans un duel bipolaire écrit d’avance.

Un contexte de récusation des élites

Pas de chance pour la presse ! Les reproches qu’on lui assène coïncident pile poil avec l’avènement d’un contexte sociétal de récusation généralisée des élites. Jamais les esprits n’ont été en effet aussi échauffés et au bord de la crise de nerfs à l’égard de ceux qui incarnent une autorité. Un cocktail détonnant de peur, de suspicion et de sectarisme semble s’être enkysté de manière récurrente dans les moindres recoins de la société. Plus aucun domaine n’est épargné par les admonestations énervées. Politique, économique, diplomatique, industriel, médical, scientifique, environnemental mais aussi social, militaire, sportif, religieux, générationnel, éducatif, tout le monde est logé à la même enseigne et la liste noire est loin d’être exhaustive !

Dans ce tir aux pigeons où la remise en cause des élites et des experts est devenue systématique, les journalistes en prennent évidement plein leur grade au même titre que la liste égrenée ci-dessus. Le sociologue Michel Maffesoli le constate sans détours4 : « Depuis deux décennies, un très grand fossé s’est creusé entre l’élite, ceux qui ont le pouvoir de dire, et le peuple, ceux qui n’ont pas le pouvoir de dire. C’est une crise globale de la représentation qui affecte le vieux contrat social républicain. Toute société a besoin de se dire et de se raconter. Même si le discours n’est que rituel, il sert de référence commune. Cette fonction de dire la société revient aux clercs. Or aujourd’hui le discours des clercs ne correspond plus du tout à la réalité. Cette rupture introduit un sentiment de mensonge global. On ne se sent plus représenté. Donc on suppute qu’on est trompé. »

Le journaliste, au même titre que l'expert, est tombé de son piédestal.

La déliquescence est donc installée. Le journaliste est désormais regardé comme au mieux un acteur brinqueballé et manipulé par des enjeux qui le dépassent ou au pire un collabo versé dans la collusion avec les puissants, voire un chasseur sans foi ni loi de scoops sensationnalistes et racoleurs. Il faut bien avouer que cette métastase de la défiance a été largement alimentée par de nombreux journalistes. Par des renoncements serviles, à cause d’ambitions cupides et/ou par laxisme déontologique, la profession s’est abîmée en endossant régulièrement les habits de l’apprenti faustien pactisant avec le pouvoir politique tout en croyant pouvoir s’en défaire lorsque nécessité se fait jour.

Dominique de Montvalon, ancien directeur de la rédaction du Parisien et rédacteur en chef du service politique de France Soir, témoigne de ce flip-flap radical que le public français a opéré à l’égard des journalistes. Lesquels sont aujourd’hui allègrement perçus comme des suppôts d’un ordre établi5 : « Ce n’était pas le cas quand j’ai débuté il y a trente ans et quelque. À l’époque, j’étais au Point. Les gens se disaient : « Oh la la ! Vous devez en connaître des choses et des gens ». Je caricature un peu mais il y avait une forme d’admiration, de déférence. Il fréquente les puissants et il sait les secrets du monde. Trente ans plus tard, c’est la situation inverse. Les journalistes font l’objet d’un rejet ou en tout cas d’une violence inouïe. On leur reproche d’être du même monde, d’avoir les mêmes analyses, les mêmes loisirs, les mêmes habitations, les mêmes types de réflexe et de servir chacun à sa façon, le même brouet qui devient assommant. C’est une espèce de pensée conformiste, politiquement correcte et d’autant plus insupportable que la majorité des journalistes adopte volontiers un ton arrogant. Ils ne disent jamais ne s’être trompés, ne pratiquent guère le doute et ne corrigent pas leurs écrits ou leurs paroles. »

Petit florilège 2010 de castagne anti-journaliste

Matraquer verbalement les journalistes est la marque de fabrique de Jean-Luc Mélenchon.

Dans ce contexte de désacralisation des journalistes, l’arsenal déployé par les politiques donne de moins en moins dans la fioriture. Le mot d’ordre peut même se résumer la plupart du temps dans les quelques mots d’une boutade sarcastique inventée par des conservateurs radicaux américains à l’adresse de certains journalistes peu avenants : « If you don’t like the message, shoot the messenger ». Autrement dit, puisque les journalistes souffrent d’une cote d’estime aussi basse auprès de l’opinion, pourquoi se priver de tirer dessus à boulets rouges pour redorer soi-même son blason ?

Dans ce matraquage verbal en règle, Jean-Luc Mélenchon a clairement pris une longueur d’avance parmi ses confrères et consœurs de la classe politique française. Au sein d’une mouvance de gauche anticapitaliste en pleine recomposition où le leadership reste à conquérir, ce diplômé en littérature a choisi de faire de la vitupération anti-journalistique, sa marque de fabrique. En mars 2010, un apprenti reporter voulant le faire réagir sur le sujet des maisons closes, s’est vu vertement rudoyé et qualifié de « petite cervelle » par Jean-Luc Mélenchon.

Sur son blog, il s’auto-congratule du vilain tour joué au jeune homme. Il jouit ouvertement du coup médiatique que sa saillie verbale a engendré6 : « Pour moi c’est un buzz inespéré dans une semaine où je ne suis pas là du fait de mes congés. Mais, plus sérieusement, l’incident m’intéresse. Je crois que nous pouvons en profiter si nous l’utilisons correctement. Que l’occasion fasse les larrons. C’est surtout un exercice de démonstration par la preuve de ce que j’avance à propos des dérives de ce métier. Car cette vidéo a immédiatement suscité, m’a-t-on dit, des centaines de témoignages qui me donnent raison et dire que cette profession est en train de sombrer. Il est très important, pour la lutte que nous menons, de faire en sorte que les gens se décomplexent à l’égard des médias et rétablissent un rapport critique à ceux-ci. »

Depuis ce coup d’éclat, Jean-Luc Mélenchon ne rate pas une occasion d’étriller la profession journalistique comme sa récente descente en flammes envers David Pujadas. Le politologue Stéphane Rozès décrypte parfaitement bien la tactique discursive du sénateur Mélenchon7 : « Il exploite l’idée répandue que les médias sont au service du pouvoir économique et financier et il parle au peuple comme le peuple. » Résultat payant s’il en est puisque jamais Jean-Luc Mélenchon n’a été autant présent dans l’espace médiatique au point d’avoir décroché un ticket d’accès pour s’asseoir début novembre 2010 sur le si prisé canapé dominical de Michel Drucker dans son émission « Vivement Dimanche ».

Médias = complot

Benjamin Lancar (UMP) voit des complots trotskystes partout dans la presse.

Dans un registre plus complotiste mais tout aussi lance-flammes, deux médias ont récemment dû affronter des flèches particulièrement venimeuses et enduites d’une glose totalitaire qu’on aurait pu croire révolue tellement la ficelle est grosse. Pourtant, Mediapart comme TF1 ont tour à tour reçu une volée de bois vert au motif qu’ils étaient au service exclusif d’une cause politique indigne aux yeux de leurs contempteurs de service.

Dans le cas de Mediapart, ce sont les ténors de l’UMP qui sont montés au créneau pour s’offusquer du traitement médiatique effectué par le site d’information sur l’affaire Woerth-Bettencourt. Dans un article paru en septembre dernier8, le journaliste Jean-Claude Guillebaud s’est livré avec ironie à une exhaustive compilation des déclarations les plus cinglantes à l’égard du site fondé par Edwy Plenel. Pêle-mêle, on y retrouve par exemple les « méthodes fascistes » dénoncées par Xavier Bertrand, la fine analyse du président des Jeunes Populaires, Benjamin Lancar (« Du temps de Staline, il y avait les montages photo ; en 2010, il y a Mediapart mené par un trotskyste »), le « site de ragots et de déclarations anonymes » de Nadine Morano ou encore la puissante admonestation du porte-parole de l’UMP, Dominique Paillé (« Ce comportement est scandaleux tant il repose sur des montages farfelus, fabriqués de toutes pièces »).

Concernant TF1, la charge émane en revanche d’un seul homme, le député socialiste Arnaud Montebourg mais elle n’en demeure pas moins brutale que celle du pack UMP. Après s’être fait prendre en flagrant délit de dénigrement caractérisé de la première chaîne dans une vidéo sur Internet, Arnaud Montebourg a alors défouraillé plein pot en adressant un courrier acerbe au PDG, Nonce Paolini. Courrier qu’il publie dans la foulée sur son blog personnel. Là aussi, l’accusateur n’y va pas de main morte. Arguant son écharpe tricolore d’élu de la Nation, Arnaud Montebourg dézingue TF1 en la rendant coupable de collusion politique et d’appauvrissement culturel des téléspectateurs français. En cela, Arnaud Montebourg renoue avec le combat qui l’avait fait connaître du grand public en 2004 avec l’association « Les pieds dans le PAF » qui croisait déjà le fer avec… TF1 !

« Je t’emmerde » ou la combine à Nanard

Avec Bernard Tapie, le canardage des médias est quasiment une seconde nature. Bien qu’il leur doive une grande partie de sa notoriété, l’homme d’affaires n’a jamais accepté qu’un journaliste lui oppose une quelconque résistance. Mais à la différence des exemples évoqués plus haut dans ce billet, le désormais remplumé citoyen Tapie ne s’embarrasse pas d’une dialectique élaborée pour jeter l’opprobre sur des médias qui l’agacent ou qui lui déplaisent.

Bernard Tapie : on cogne d'abord et on discute après (éventuellement !)

Ainsi, lors du sulfureux match entre l’Olympique de Marseille et l’US Valenciennes Anzin en mai 1993, le journaliste Pierre-Louis Basse fut le premier à émettre des doutes sur la régularité de la rencontre. Le dirigeant marseillais lui nourrira dès lors un ostracisme implacable et ouvertement assumé à chaque fois que leurs routes se croiseront. Un autre journaliste a également fait les frais des fureurs de Bernard Tapie mais cette fois physiquement. Journaliste à Antenne 2, Alain Vernon consacre plusieurs sujets sur le dopage dans le cyclisme et le football. Assez pour déplaire à l’homme d’affaires très actif dans ces deux sports qui lui assènera un violent coup de poing à la figure en 1991 lors d’un match européen.

Une réaction qu’on aurait pu mettre sur le compte de la jeunesse si près de 17 ans plus tard, le journaliste de RTL, Jean-Michel Aphatie n’avait pas à son tour subi le courroux débridé de Bernard Tapie. Après une interview radiophonique mouvementée sur l’affaire du Crédit Lyonnais, Bernard Tapie sortit de ses gonds, insulta copieusement le journaliste tout en étant à deux doigts de la bagarre à la sortie du studio.

Au fil des années, l’homme n’a pas varié d’un iota. Aussi n’hésite-t-il pas à ressortir du placard la bonne vieille pétoire à gros sel lors de son entretien mouvementé le 11 octobre dernier avec le journaliste de France Inter, Patrice Cohen. Au lieu de s’évertuer à avancer des arguments pour convaincre de son bon droit, Bernard Tapie fonce bille en tête en insinuant que les journalistes sont des jaloux du magot qu’il vient de récupérer par voie de justice. À coups de formules populistes musclées qui ont fait son succès, il provoque le journaliste 9 : « “Ça fait quinze ans que j’ai raison et ça fait quinze ans que ça vous emmerde, parce que depuis le départ vous avez estimé que je devais avoir tort (…), il faudra vous y faire, j’ai gagné 45 millions et même un peu plus encore ! Et plus ça vous emmerde, plus ça me fait plaisir. (…) Je le sais que ça vous fait chier ». Et quand Patrice Cohen lui demande s’il aime Mélenchon parce qu’il tape sur les journalistes, l’impétrant réplique sans barguigner : « Voilà ! Parce qu’il pense comme moi ».

Conclusion – Peut-on critiquer les journalistes ?

Exemple à suivre ? La question est ouverte (Extrait du Canard Enchaîné - Mars 2009)

On a encore tous en mémoire l’inénarrable propension de Georges Marchais, ancien premier secrétaire du Parti Communiste, à assommer verbalement les journalistes qui le gênaient dans ses propos. Le « Taisez-vous Elkabbach » figure et figurera encore pour longtemps au frontispice des répliques les plus cinglantes (bien que la source de cette phrase soit semble-t-il de l’humoriste Pierre Douglas et non du sus-nommé lui-même – NDLR : merci à Guy Birenbaum pour cette utile précision). De surcroît, il est sain dans une démocratie que les journalistes ne s’érigent pas en procureur zélé du haut de leur tribune médiatique. Cette inclination encore trop répandue a très probablement encouragé d’aucuns à répliquer aussi durement que les admonestations dont ils étaient les cibles médiatiques.

Pour autant, la tendance croissante à imputer aux journalistes toutes les erreurs du monde devient fâcheuse. Autant il est nécessaire que les journalistes puissent être critiqués (et force est d’admettre que la marge de progrès reste importante dans ce domaine), autant les dirigeants politiques devraient s’abstenir de recourir aux diatribes comminatoires et méprisantes dont ils usent et abusent pour couvrir leurs propres incohérences ou refuser d’assumer des évidences. Ce n’est pas en tuant le messager qu’on empêche le message de passer. En revanche, en le tuant, on risque fort de laisser le message se déformer au profit de minorités hurlantes qui ont fait de l’hallali anti-journaliste leur fonds de commerce fallacieux. Messieurs Mélenchon et consorts feraient bien de méditer cet axiome au lieu de s’inspirer de cette citation révélée par le Canard Enchaîné en 2009 (voir ci-contre).

Pour en savoir plus

- Visiter le site du chercheur Thomas Bouchet sur l’insulte en politique (Université de Bourgogne)
- Article de Thomas Legrand – « De l’insulte en politique » – Slate.fr – 5 avril 2010
- Lire le dossier enquête du Monde (en accès payant) – « TF1 est-elle une chaîne délinquante ? » – 12 octobre 2010
- Lire l’article mordant de Claude Soula – « Mélenchon, Tapie, Pujadas et Cie – Petites natures va ! » – Le Nouvel Observateur – 15 octobre 2010
- Lire l’interview décapante d’Arlette Chabot – « Journaliste, pas mieux considéré que flic ou pute » – Rue89 – 16 octobre 2010 (Merci à François Guillot pour cette info qu’il m’a transmise)

Billet initialement publié sur Le blog du communicant 2.0

Images CC Flickr jacob earl (une), erikgstewart (statut), Parti socialiste (Jean-Luc Mélenchon), smallislander (Trotsky), KayVee.INC (gants de boxe)

  1. Emmanuel Berretta – « Insultes – Pas de boycott ni de poursuites de France 2 contre Jean-Luc Mélenchon » – Le Point.fr – 10 octobre 2010 []
  2. Ibidum []
  3. Yves Mamou – C’est la faute aux médias – Payot – 1991 []
  4. Interview de Michel Maffesoli donnée au Nouvel Observateur – 7 octobre 2004 []
  5. Entretien avec Jacques Paugam – www.omegatv.tv – Décembre 2008 []
  6. « Un étudiant en religion médiatique démasque un mécréant » -Blog de Jean-Luc Mélenchon – 31 mars 2010 []
  7. Rosalie Lucas, « Pourquoi Tapie et Mélenchon attaquent les journalistes » – Le Parisien – 12 octobre 2010 []
  8. Jean-Claude Guillebaud –  « Des excuses à Mediapart ? » – TéléObs – 30 septembre 2010 []
  9. Entretien avec Patrice Cohen – Le 7/9 de France Inter – 11 octobre 2010 []

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